Au siège de Renault, à Boulogne-Billancourt, une perquisition a relancé l’enquête sur la fausse affaire d’espionnage qui a touché le constructeur et amené à une refonte de son organisation.
Après la plainte de Renault pour tentative d’escroquerie, le juge Hervé Robert qui est en charge de l’enquête a mené une perquisition mercredi dernier dans les locaux de la direction générale et celui de l’assistante de Carlos Ghosn (PDG), par la même occasion.
Il faut savoir que cette opération fait suite à une première perquisition ayant eu lieu durant l’été, début juillet où le juge était intervenu au Plessis-Robinson dans les locaux du constructeur pour y consulter des documents car suite à des dénonciations anonymes la direction avait licencié trois de ses cadres, les accusant à tord, d’avoir monnayé des secrets sur ses nouveaux programmes de voitures électriques.
Mais selon la version officielle, il n’existait aucune preuve de la culpabilité des employés, pire encore les dirigeants étaient apparemment manipulés par les personnes en charge de la sécurité.
Pensez-vous que cette histoire peut nuire à l’image de Renault ?
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22/11/2011
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Fausse affaire d'espionnage chez Renault
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