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Afin de soutenir les candidats les plus en difficultés, l'État a mis en place plusieurs aides :
- Un prêt pour le permis à 1 € par jour : si vous avez entre 16 et 25 ans, vous pouvez bénéficier de ce prêt. Votre entourage peut aussi se porter garant si vous le souhaitez. Le coût de la formation peut s'étaler sur plusieurs mois grâce à un prêt de 600, 800, 1 000 ou 1 200 euros. L'État s'engage à prendre en charge les intérêts et la caution à hauteur de 20 000 prêts par an. L'objectif est d'atteindre 100 000 prêts par an.
- La bourse au permis de conduire : destinée aux jeunes entre 18 et 25 ans, ne disposant pas de ressources familiales ou personnelles suffisantes. Les municipalités prendront en charge une partie du coût du financement, et en échange les jeunes effectueront des activités d'intérêt collectif. Il y aura un suivi régulier des bénéficiaires, en relation avec les écoles de conduites et les structures dans lesquelles ils travailleront.
- Une aide complémentaire pour financer le permis : 15 millions d'euros seront consacrés au financement des permis de conduire des allocataires du RSA (Revenu de Solidarité Active) inscrits dans une démarche d'accès à l'emploi.
- Une aide exceptionnelle de 500 euros : proposée par le Fastt (fonds d'action sociale du travail temporaire) pour les intérimaires âgés de 26 ans et plus. Pour obtenir cette aide, il suffit de compter 600 heures de mission de travail temporaire (soit 4 mois à temps plein) sur les 12 derniers mois, d'avoir été en mission dans les 30 jours qui précèdent la date d'envoi du formulaire de demande et de faire la demande avant l'inscription dans une école de conduite conventionnée par l'État dans le cadre du permis à 1 € par jour.
RAPPEL
